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mardi 2 février 2016

MARKETING TP



Dans  le cadre de notre cours de Marketing et Gestion d’institution des entreprises de communication, il nous est demandé de réécrire au propre un chapitre du cours au choix en enrichissant en fonction de la bibliographie donnée au cours. Hormis les deux premiers chapitres.
Cependant nous avons choisi le neuvième chapitre qui est intitulé le Marketing  des Associations sans But Lucratif (Marketing Social ou Marketing des idées).
A ce titre le Marketing social  selon Philip KOTLER, est la conception, la mise en œuvre et le contrôle de programmes conçus pour promouvoir une   idée ou une pratique social auprès d’un groupe cible. C’est « une technique de gestion du changement social comprenant le design, la mise en œuvre et le contrôle de programmes visant à accroitre l’acceptabilité d’une idée ou d’une action auprès d’un ou plusieurs groupes cibles ».[1] D’après Andreasen, le marketing social met en œuvre « l’analyse, la planification, l’exécution et l’évaluation des programmes conçus pour influencer le comportement volontaire du public cible afin d’améliorer son bien-être personnel et celui de la société ».[2]
Il vise à influencer et à modifier les comportements sociaux pour le bénéfice du public cible et de la société en général. Il est à la portée de tous. Il n’a rien à voir avec l’éducation dans la mesure où son but ultime est d’influencer les comportements .Le marketing social reconnaît bon nombre des principes qui s’appliquent au marketing commercial : évaluation des besoins, identification du public cible, mise au point de produits et évaluation des résultats. Selon Kotler, le marketing social « utilise les concepts de segmentation de marché, de recherche sur le commentaire, de développement, de communication, de facilitation, de stimulant et la théorie de l’échange pour maximiser la réponse du groupe visé ».[3]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




LE MARKETING DES ASSOCIATIONS SANS BUT LUCRATIF
Le marketing est apparu dans la deuxième phase de développement de l’air industriel. Pendant la première période, celle de la révolution industrielle, le marché son si vaste, la demande si colossale, la concurrence si faible qu’il n’est guerre d’étudier au préalable les besoins des clients.

L’association est reconnue en France qui est le berceau de la déclaration des Droits de l’Homme qu’en 1901 par la loi du même nom  en Belgique ; mais alors, la loi portant  sur les ASBL date de 1921. C’est d’ailleurs durant la même période que les statuts des mutuelles, des coopératives et des associations sont reconnus tout en se distinguant les unes des autres. Les premières seront intégrées après  la 2ème  guerre mondiale, au système de sécurité sociale de l’Etat-providence, tandis que les secondes seront intégrées dans l’économie marchande.[4]
But de la communication des associations est de venir en aide les personnes vulnérable et de consolider le lien social. Les associations opèrent le passage de la solidarité privée à l’espace public, dont elle partage avec l’Etat l’enjeu de démocratie.
1. Définition du Marketing Social et Historique
Le marketing social est un concept ancien au cœur des processus planifiés pour susciter le changement. Depuis toujours, l’individu tente d’informer, de persuader, d’influencer, de motiver, de gagner la confiance de nouveaux adhérents à un ensemble d’idées. Dans son sens le plus large, le marketing social est donc une nouvelle approche pour concevoir de très anciens projets humains.[5]
Selon Kotler, les campagnes de publicité pour susciter le progrès social ne constituent pas un phénomène nouveau. Dans l’antiquité gréco-romaine, on enregistrait des campagnes pour appeler à la libération des esclaves. Pendant la révolution industrielle, la société civile anglaise organisait des campagnes contre l’incarcération pour endettement et travail des enfants, ainsi que pour le droit de vote des femmes. Au XIX ème siècle, les Etats-Unis furent agités par des mouvements pour l’abolition de l’esclavage. D’autres mouvements comme celui des suffragettes ont abouti à la mise en œuvre d’importantes réformes sociales.[6]
C’est en 1971 que Kotler et Zaltman ont utilisé pour la première fois le concept de marketing social.[7] Même si l’idée remonte à janvier 1969  dans un article  du Journal of Marketing où Kotler et Lévy avaient suggéré d’élargir l’application du concept de marketing commercial à des causes sociales : « le marketing est une activité humaine orientée vers la satisfaction des désirs au moyen de l’échange. L’optique du marketing sociétal est une orientation de gestion tournée vers la satisfaction du client et vers le bien-être à long terme du consommateur et du public en général en tant que moyen permettant à l’organisation d’atteindre ses objectifs et d’assumer ses responsabilités ».[8]
Le marketing social utilise la même technique que le marketing commercial pour résoudre les problèmes sociaux qui reposent essentiellement sur le changement de comportement.
2. Les 4 P en Marketing social
Les  bases du marketing appliquées à un circuit de distribution sont régies par les 4P (Prix, Produit, Place, Promotion). Dans le marketing commercial, le produit désigne l’objet de la vente ; le prix, ce que le client paie ; la place, c’est le lieu de vente du produit ou des services ; la promotion porte sur les démarches entreprises pour attirer l’acheteur. Que deviennent ces « P » dans le cadre du marketing social ?
2.1 Le produit
Contrairement au produit commercial qui se situe dans le domaine de l’avoir, le produit social   reste dans l’ordre de l’être et vise une dimension qualitative. Le produit social c’est l’idée, la croyance ou l’habitude que le public cible doit accepter, adopter ou modifier afin de répondre à ses besoins. Mais, il peut parfois s’agir d’un comportement lié à l’utilisation d’un objet. Par exemple, les comportements anti-sida peuvent promouvoir l’usage du préservatif ou même le  distribuer ; le planning familial propose souvent le recours à un stérilet ou à une pullule. Dans l’un ou l’autre cas, « le marketing social ne porte pas sur la transaction économique. Il est antérieur : il s’agit de persuader un non-utilisateur de changer son mode de vie ou ses valeurs ».[9] Comme le dit Fine, « avant d’acheter quelque chose, je dois acheter l’idée que c’est une bonne idée d’acheter cette chose ».[10] Pour Philip et Zaltman, le produit social est «  des valeurs, des croyances, des tendances, affectives, du comportement ou d’une combinaison quelconque de ces éléments ». [11]
2.2 Le prix
Le prix en marketing social, c’est ce que cela coûte au public cible, en termes d’habitudes, de mentalité à changer et de temps ou d’argent à consacrer, pour le changement de comportement est perçu comme un coût au même titre que l’abandon d’une somme d’argent contre un bien. « le coût du changement, c’est aussi le coût de la remise en question :il s’agit d’un effort d’analyse ,de  comparaison, de décision et de rupture avec le passé, de désapprentissage et de réadaptation aux réactions nouvelles que cela suscite dans l’entourage ».[12]
2.3 La place
La place en marketing des idées et des comportements, c’est l’endroit ou le média utilisé pour transmettre le message. Il s’agit d’un réseau d’action, un réseau d’influence et un réseau d’information auxquels il faut ajouter un réseau de distribution classique lorsqu’un produit matériel est en cause.[13]


2.4 La promotion
C’est le moyen de communication ou le message utilisé pour attirer l’attention sur le produit social qui, le, est une attitude, une valeur, une idée et non un objet matériel autonome. C’est sur le produit qu’il faut construire un discours dont les conséquences heureuses ne sont pas perceptibles directement mais doivent être explicitées, l’individu n’acceptant, par exemple, de cesser de fumer qu’à condition d’imaginer le mieux-être qui en découlera.
Signalons  qu’en marketing hier il y ‘avait quelques principes de vente donc nous énumérons au point trois.
·                 Il suffit de mettre ce produit fini sur le marché pour qu’il soit vendu ;
·                 La communication commerciale est réduite à de fait d’amorce. Signalons que c’est l’air de la réclame.
Apres des années de croissance et de reproduction vint la prise de conscience de la primauté du consommateur. Désormais ,pour vendre, il faut  proposer le meilleur apport, qualité, prix adapter, le produit à la demande, et enfin, faire savoir tout cela par une politique agressive de vente.
Dans cette optique marketing, il devient nécessaire d’étudier avec substitutive les besoins et désirs des clients.
La réussite de l’entreprise passe par la satisfaction de consommateurs. Elle suppose une écoute permanant et une bonne adaptation au marché. Cette connaissance du marché nécessite la prise en compte des facteurs très divers du comportement humain.
La démarche marketing a dont un rôle préventif. Ainsi qu’une mission de conquête de marché, elle contribue o limités trois sortes de risques :
·                 Les risques de surproduction par les biais d’une connaissance de capacité d’adaptation du produit au marché ;
·                 Les risques d’une inadaptation du produit au marché par le biais de l’étude préalable des besoins  de clients ; et
·                 Les risques d’un achat ponctuel non renouvelé. Il faut que les clients soient fidélisés.
C’est  en effet la fidélité des clients comme celle de membre et donateur d’une association qui constitue la richesse des entreprises et des associations.
La satisfaction des adhérents, usagers, consommateurs et la condition essentielle de leur fidélisation à l’association.
La notion de besoin et de désir d’où découle l’idée de transaction est essentielle surtout pour comprendre le marketing des associations ou le marketing associatif.
Le besoin qui traduit le sentiment de manque, préexistant au marketing, devient dans l’asphère associatif un sentiment éthique, intellectuel, spirituelle… c’est le besoin de solidarité, de fraternité, d’association, de décence, de l’intérêt général de la communauté. Ce sentiment est nécessaire à tout individu pour se sentir utile, participer, intégrer un groupe le plus large, défendre et échange aussi les passions communes. Nous devons susciter les besoins.
Le désir est le moyen de satisfaire les besoins évidents (confiant à un besoin) et du terrain mis en évidence par le marketing. Il tend vers un assainissement qui fait disparaitre cette tension individuelle ou collective. Cet apaisement prend la forme d’un don, d’une action de bénévolat, une adhésion, d’un changement de comportement qui était dangereux pour la société ou de l’adoption de nouveau comportement positif.
Ex : visité le musé, lire ; faire le sport.
Le fait de donner l’argent c’est un acte transactionnel, on ne donne pas seulement pour aider mais pour se faire  voir.
Si le service rendu par l’association déclenche une satisfaction correspond aux valeurs. «  marché de la générosité, de la communauté associative, marché de la prévention, de service abus non lucratif, rendu par le secteur non marchant à la collectivité… », Il se réalise alors, une transaction sociale et non mercantile entre le groupe et les associations, et leurs prospects c'est-à-dire les différents  nombre public au quel il s’adresse.
Issue de l’asphère commercial dans la quelle le profit domine, le marketing pénètre l’asphère associative, dans la quelle les objectifs et les valeurs sont radicalement différent ; voir souvent antagonistes. Mais on ne vend pas une association comme une boite de sardine ou une marque de lessive. Le marketing doit être considérer comme technique. Le transfère  des méthodes inventées par les hommes de la publicité du commerce et celle des associations doit être opérer avec discernement et en procèdent au correctif nécessaire.
Le terme vente, produit et marché prennent un sens dans différent contexte associatif. Le marketing des associations doit permettre au responsable d’association d’améliorer le travail et la rentabilité sociale de leurs œuvres, en satisfaisant mieux les usagers, les adhérents et les donateurs.
En  perfectionnant les différentes communications, en le rendant plus efficace, en mettant en évidence la nécessité du dialogue, l’association se fera non seulement connaitre, elle accédera à la reconnaissance, elle construira son image de marque. En donnant  d’elle l’image la plus positive que possible. Ce qui nécessite outre la bonne volonté, la maitrise d’un certain nombre de technique et en améliorant ses performances, l’association confirmera son utilité sociale et installera sa légitimité.
L’approche marketing est valable aussi bien pour la grande association national ou international que pour l’association locale ou provinciale. Ex : le médecin du monde.
Quelque soit sa sphère d’influencer toute association doit à mieux ciblé son public, pour mieux communiquer avec lui, et adapter ses stratégies à ses contraintes interne afin, d’être à mesure de réaliser les objectifs quelles s’est fixée.
Le marketing est un outil. Les associations doivent s’en emparer  pour relever un nombre défaits auquel elles sont confrontées.
Le marketing associatif regroupe donc l’ensemble de technique utiliser par les associations et fondations :
·                 Pour connaitre le mieux possible leur environnement, économie, politique, culture… ;
·                 Afin de déterminer précisément le public de donateur, d’usagers, d’adhérant, des consommateurs, auxquelles elle s’adresse (segmentation et ciblage) ;
·                 D’étudier les besoins matériels et/ou moraux de ce public ; et
·                 Pour en suite, leur proposer le produit et le service, les adapter à les satisfaire pleinement ou des amener à modifier leur comportement.
Une typologie sommaire de fonction principale de marketing des associations peut être définie ; elle est basée sur les principales difficultés que doivent résoudre les associations :
Ø    Besoin de ressource financière : l’association vend de la demande de non privé ;
Ø    Besoin de faire connaitre et de faire partager ses idées : l’association se vend elle-même ;
Ø    Besoin de mobiliser ses salariés adhérents ou volontaire : l’association vend son projet d’entreprise, d’avenir ;
Ø    Besoin d’exécuter toute sorte de prestation de services : elle vend son savoir faire et la qualité de service rendu ; et
Ø    Besoin de convaincre tel ou tel public de changer les comportements : l’association vend  de la persuasion sociale.



Types
Produit vendu
Objectifs
Publics
Médias
Marketing Interne
Projet poursuivie de l’association
Faire passer l’information, développement des adhésions, motiver les militants et les personnels.
Adhérents, volontaire, personnel,
Conseil d’administration
Médias de communication interne et Médias de contenu
Marketing Institutionnel
L’association elle même
Développement de l’image et collecte de fond et développement de l’influence de l’association et les lobbing
Grand public, usagers, détenteur du pouvoir, leaders d’opinion
Médias verticaux d’image, Médias de contenu, Contacts interpersonnel
Marketing de Collecte
Demande de dons
Recherche de financement privé
Prospects et donateurs
Médias de communication directe
Marketing des services publics
Prestation de services
Améliorer le service rendu et tenir compte des attentes des usages
Usagers
Médias de contenu, Médias de communication interne
Marketing des Causes Sociales ou Marketing Social
Prévention ou l’incitation
Convaincre les catégories de politique d’abandonner les comportements nuisible à leur santé et dangereux pour la communauté ou d’adopter d’autre comportement positif.
Grand public, public concerné par la cause défendue
Medias verticaux d’image et les Médias de contenu.



5. LES 5 ETAPES THEORIQUE DU MARKETING SOCIAL :
·                 vise à provoquer la prise de connaissance, recommander la solution. après l’information, la sensibilisation, il faut identifier les bénéfices, obstacles aux gens concernés ;
·                 l’adhésion, acceptation, enfin qu’il soit persuader, adapter le message au milieu. Ici nous devrons montrer les méfaits ;
·                 pour obtenir la décision, on doit fournir l’information logique en se servant au groupe concerné. Ici c’est la motivation ;
·                 lorsque l’auditoire commence à essayer le nouveau comportement, il faut encourager l’usager en mettant l’accent sur les bénéfices fourni l’information sur l’usager de comportement désiré, montrer les qualités, réduire les obstacles ; et
·                 une assistance sociale en permanence. Pour n’est pas rechuté. Bien écouté, voir les causes qui le poussent à fumer. Ce que l’on dit, on désire doit être disponible ;  si on parle de la protection contre les maladies sexuellement transmissible, on doit aussi remettre par exemple la prudence. signalons qu’il n’y a pas de public homogène, on doit  bien segmenter, qualifier les catégories des gens. Ex : médias de contenu : on a le dépliant.






Cette différence se réalise sur deux points :
§    L’entreprise est financée principalement par ses actionnaires, qu’elle rémunère par le profit qu’elle réalise via le mécanisme du marché. A l’inverse, l’association est financée en partie par les pouvoirs publics, en partie par les dons des sympathisants. Par ailleurs, la mise à disposition du travail gratuit par les bénévoles réduits largement le coût du travail. Don d’argent et Don de temps appartiennent en propre à la dynamique associative.
§    La communication des entreprises est orientée vers la vente de biens et services. Tandis que la communication des associations vise à créer et entretenir du lien entre les sympathisants et l’association, entre permanents et bénévoles, entre gestionnaires et bénéficiaires des fonds récoltés et des services offerts. Cfr. J.-L. Laville : « l’association naît d’une absence de lien social vécue comme un manque par des personnes qui s’engagent pour y remédier dans la réalisation d’un bien commun qu’il déterminent eux-mêmes.







CONCLUSION
Dans le présent travail, il était question de réécrire un chapitre du cours au choix, mon choix a été porté sur le marketing des associations sans but lucratif ou le marketing des idées qui est défini comme étend : un concept ancien au cœur des processus planifiés pour susciter le changement. Depuis toujours, l’individu tente d’informer, de persuader, d’influencer, de motiver, de gagner la confiance de nouveaux adhérents à un ensemble d’idées. Dans son sens le plus large, le marketing social est donc une nouvelle approche pour concevoir de très anciens projets humains.[15] Ainsi, nous avons dit que le marketing social utilise même technique que le marketing commercial seulement qu’en marketing social le produit est une idée, la croyance ou l’habitude que le public cible doit accepter, adopter ou modifier afin de répondre à ses besoins. Mais, il peut parfois s’agir d’un comportement lié à l’utilisation d’un objet matériel.
Cependant, la communication des associations est très différente de la communication commerciale.
Certes, dans la société il n’y a pas  de communication sans effet, par ce qu’elle est intentionnelle, nous devons chercher l’efficacité qui doit être retenu par la segmentation du cible puis en ayant un œil sur l’ensemble de la communication. Nous devons adopter 3 méthodes qu’il faut utiliser parallèlement :
1.              Marketing : étude du marché ;
2.              Communicationnelle (promotion) segmenter le cible. Par la communication de masse sauf à la sensibilisation, après celle-ci on segmente le marché ; et
3.              Systémique : rien n’évolue en vaste clos, on doit voir l’ensemble pour avoir le bon résultat.
N.B : la communication est un acte intentionnelle par ce que nous voyons le fait et nous voulons communiquer pour un changement, pour obtenir quelque chose. Chaque situation doit s’adapter aux événements, puis sensibilisé. Nous ne devons pas saturer les gens à l’information. Si non on passe à l’inaction. Nous devons aussi utilisé le mix communicationnel.


[1] P.KOTLER et E.L. Roberto ,Social  marketing, New York; Free Press,1989,P.24
[2] Andreasen, A .R. Marketing Social change-changing Behavior to promote health, social development ,and the environment, Jossev-Bass publishers, San Fransisco,Califorme,1995,p

[3] KOTLER, 1982, p.490

[4] Roger Sue : Renoue le lien social- Liberté, égalité, association, éd. Odile Jacob, Paris,2001
[5]  Santé Canada, www.hc-sc.gc.ca
[6] Kotler., Marketing Social: Strategies for Changing Public Behavior, 2ème edition,2000,Edition Dalloz

[7] Kotler ET G .Zaltman, « Social Marketing : an approach to planned social changes”, Journal of Marketing,vol.35,1971,p. 3

[8] Kotler  Philip et S.J. Levy, « Broadening the concept of marketing», Journal of Marketing,Vol.33,1969,p.46

[9]  Michel Beauchamp et autres, communication publique et société : repères pour la réflexion et l’action, éd ; Gaëtan Morin, 1991, p .294-295
[10]  Fine, S.H., The marketing of ideas and social issues, New York, Preager, 1981,P.189
[11]  Kotler, P. et G. Zaltman, op cit, p.7                                                                        
[12] Michel B OP cit .p 305
[13] Op.cit.p.308

[14] http://www. La-communication-des-associations-et-d’ -entreprises .Jean Marieierlot.pdf
[15]  Santé Canada, www.hc-sc.gc.ca

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