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mardi 2 février 2016

BANDITISME URBAIN ITOPIE OU REALITE?



PROBLÉMATIQUE
Au travers le monde on pense de moins en moins à l’élimination physique de cette catégorie d’homme. Tout homme qui est dans la délinquance est une malade sociale donc on doit les amener auprès de psychiatre au lieu de le tuer. Le gouvernement de la République Démocratique du Congo investi l’argent pour l’élimination des kulunas au       lieu  de l’investir pour l’éducation, la création des emplois et autres. On ne peut pas tuer pour résoudre un problème. E .DURKHEM, stipule que les malades mentales sont les gens qui ne parviennent à s’intégrer dans la société, ils sont marginalisés et deviennent de plus en plus malade.
            L'insécurité, tout comme la délinquance et la criminalité, est une réalité complexe. La recherche des causes et l'étude des conséquences d'un tel phénomène sont donc forcément des entreprises délicates, nécessitant des approches larges et diverses.
De ce fait, nous avons tous connu l’opération dite «  likofi » qui sans pitié a tué même les innocents.  Nous appelons kuluna les malades mentales qui occupent la position  de vie « Je négatif- tu négatif », pour eux rien est important ; ils vivent sous le principe advient que pourra. Ceci s’explique de problème qu’ils ont connu dés la naissance : les stresses, le divorce des parents, le traumatisme, la maltraitance et autres.
 Le gouvernement congolais au lieu de tuer ces jeunes gens comme les brebis à la boucherie, il devra d’abord analyser le pourquoi de ce banditisme urbain en amont et en quoi ils se donnent à ses opérations et quelles solutions prendre en aval, toute fois, lutter contre un crime en a  commettant une autre ne renforce pas l’Etat de droit.
Cependant, qu’ il nous soit permis de citer les causes et conséquences qui influencent les jeunes à se transformer en kuluna soit banditisme urbain. Parmi les quelles  nous  soulevons :
 Les causes sociales : ll y a l’absence de perspectives professionnelles, manque de repères, concurrence, pauvreté, chômage, etc.  , Plus largement, il faut encore ajouter à ces causes sociales, le contexte d'une culture de la violence et de l'argent facile. Il existe notamment un lien causal entre la violence domestique et la violence de la rue (ce n'est pas l'enfant délinquant que l'on bat, mais l'enfant battu qui devient délinquant !).
Enfin, la modification des contrôles sociaux, en particulier le divorce des parents, la rupture du lien social au niveau des quartiers, semble être aussi une cause que l'on retrouve dans beaucoup de situations.
 Les causes  institutionnelles : il faut mentionner l'inadaptation du système de justice criminelle (police, justice et prisons) face à la montée de la délinquance.  Et nous dirons aussi  que dans notre pays les policiers qui doivent être au service de la population, sont les premiers à nuire la  dite population et à tuer sans avoir peur du Dieu créateur. Quant à la justice, elle ignore les droits de l’homme, elle juge injustement en acceptant de mettre fin à la vie d’un être humain anormal, elle est corrompue, la procédure d'admission à l'assistance judiciaire est complexe, longue et coûteuse. La population n’est pas en mesure de le payé.
            Et en ce qui concerne  les prisons, elles  sont vétustes, inadaptées et surpeuplées. Le personnel est souvent mal formé et ne peut remplir qu'un rôle de gardiennage, abandonnant toute tentative de rééducation sociale des détenus. Du coup, la prison devient plutôt une « école du banditisme » pour les jeunes qui y entrent en contact avec des criminels plus expérimentés.
 Les causes concernent l'environnement : physique, souvent urbain, de ces phénomènes : , il faut signaler l'urbanisation mal maîtrisée, le manque de services urbains, l'absence de conception de la sécurité dans les politiques urbaines, l'apparition d'espaces semi-publics mal protégés, la promiscuité et l'illégalité de certains quartiers qui génèrent des zones de non-droit et finalement la liberté du port d'armes ou le trafic illégal des armes légères qui constitue la conséquence de guerres civiles ou de conflits dans les pays limitrophes.
 Et les conséquences  nous énumérons ce qui suit:
 Les conséquences  psychologiques: impression d'abandon, d'impuissance et d'incompréhension pouvant mettre en péril la paix sociale, voire même les fondements démocratiques d'un pays. On constate ainsi souvent des réflexes de repli sur soi et de xénophobie ;
 Conséquences architecturales, La peur du grand banditisme a fait naître un besoin de protection qui passe souvent par l'aménagement de systèmes de sécurité intérieurs : des barres de fer en travers des portes, des verrous intérieurs, des chaînes ou des crochets internes que l'on puisse cadenasser, des alarmes pour ceux qui en ont les moyens, etc. Mais ce qui frappe surtout l'observation oculaire est la prolifération des murs d'enceintes avec toutes les implications que cela peut avoir sur la cohabitation entre voisins ;

 Les conséquences institutionnelles,  sont marquées par le développement massif des entreprises de sécurité privée. Les comités d'autodéfense deviennent également de plus en plus nombreux, principalement dans les quartiers résidentiels des grandes villes. Alors qu'elles constituent une réaction somme toute compréhensible face aux atteintes aux biens et aux personnes, leur efficacité reste plutôt relative. Surtout, ils posent en vérité un certain nombre de problèmes d'ordre principalement politique et juridique. D'abord, le développement de ce qui ressemble bel et bien à des milices privées, consacre de fait l'abandon de certaines prérogatives de l'Etat et des collectivités publiques et la démission de l'autorité devant ses fonctions sécuritaires. Une telle situation est inquiétante au vu des développements politiques qu'ont pu connaître récemment des pays proches tels que le Congo Brazzaville, où les milices privées sont devenus les acteurs d'une guerre civile extrêmement sanglante. D'autre part, ce phénomène de privatisation de la sécurité pose la question de la valeur juridique de ses décisions. Ainsi faut-il s'interroger sur la validité des interdictions d'accès à certains quartiers de la ville à certaines heures que de tels comités décrètent ;

Les conséquences économiques, peuvent être directes (frais occasionnés par les casses) ou indirectes (absence d'investissements, départs d'entreprises étrangères, etc.). Or s'il est vrai que toutes les classes sociales sont touchées par l'insécurité, les recherches ont montré qu'elle affecte davantage les secteurs pauvres parce qu'ils n'ont pas les moyens de se défendre, et parce qu'étant plus vulnérables, la violence urbaine érode leur capital social, brise leurs organisations et empêche leur mobilité sociale et en particulier celle des jeunes ;
 Les conséquences politiques, de la privatisation de la sécurité et la perte des prérogatives étatiques. Une autre conséquence politique est de type inverse : ce sont les tentatives des gouvernements centraux pour renforcer la sécurité à travers la répression, c'est-à-dire le renforcement des effectifs de police, l'augmentation de leur liberté d'action (p. ex l’opération likofi connu chez nous, qui hier avec le président Mobutu fut l’opération lititi et au Congo Brazza l’opération Mbata) l'allongement des peines de prison et l'application de théories répressives difficiles à gérer et discutables comme celles du « zéro degré de tolérance » ou du couvre-feu pour les mineurs ou encore de l'abaissement de l'âge de la responsabilité judiciaire. [1]
Mais, le gouvernement congolais qui est un club des intellects ont agit de la même façon que les malades mentales en tuant et cette punition qui a impliqué les innocents. Où est passé les droits de l’homme dans notre  pays? Pourquoi le gouvernement n’a pas  pu trouver d’autres solutions autres qu’éliminer une personne et ceci fait preuve de l’irresponsabilité de la part des autorités compétent.
En effet, dans notre travail, nous tenons à élaborer un plant de communication stratégique  sur la lutte contre les banditismes urbain et à chuter en l’évaluant dans une matrice d’évaluation.
Le plan de communication est un document qui, sur une marque, un produit, un service, va courir :la base marketing sur laquelle la stratégie de communication  s’est appuyée, un état des lieux relatant les principaux résultats du produit en distribution et en communication (s’il ne s’agit pas du lancement ),l’environnement concurrentiel, le raisonnement stratégique, sa traduction créative, le plan d’opérations et des moyens qui peut, au-delà  de l’exercice en cours, fixer des objectifs et des moyens sur plusieurs années.[2]
Le plan stratégique de communication est d’abord un plan de communication qui devient stratégique par ce qu’il a un objectif à atteindre sur un problème social. Comme le savons-nous  qu’il n’a pas une communication pour elle-même, moins encore, une société sans communication.
Cependant, pour appliquer une bonne communication, il faut avoir des stratégies afin de résoudre le problème. Pas de société sans conflit.
D'après Marie-Hélène WESTPHALEN[3] la stratégie de comment bâtir un plan de communication doit répondre aux questions suivantes : Que dire ? A qui ? Dans quel objectif ? Avec quelle technique ? L’auteur ajoute : l’entreprise ne peut pas communiquer à tous vents ; l’orientation générale, la dotation en moyens, leur question demandent la rigueur, faute de quoi les investissements risquent d’être inopérants.
Tout travail scientifique doit être soutenu au moins par une méthode et une technique afin de rendre incontestable le travail effectué.
Madeleine GRAWITZ et R. PINTO définissent la méthode comme étant l'ensemble des opérations  intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontrent, les vérifient[4]  Nous avons utilisé la méthode d’analyse de contenu du problème relevé et de la planification de notre campagne. Cette méthode  qui est défini par Marc Alain Descamp comme une technique de  traitement de données préexistantes 
par recensement, classification et quantification des traits d’un corpus.
            Parmi les diverses techniques qu’utilise les sciences sociales, nous avons utilisé : La technique documentaire qui va nous aider à lire les ouvrages et les documents liés au travail à faire.
Nous nous sommes inspiré à l’approche systémique, par ce qu’elle est utilisée par les entreprises pour trouver des solutions répondant à la complexité et pour accompagner les perpétuels changements que surviennent dans son environnement. Elle permet à l’entreprise d’intégrer les éléments de la planification stratégique et d’autres critères organisationnels dans le but de créer un changement au sein de l’organisation. Cette approche va permettre à la ville province de Kinshasa à mieux se réorganiser et reporter sa plus belle robe pour sauver son image.[5]
Notre travail à deux parties hormis l’introduction et la conclusion. La première  va résumer  les causes et conséquences du banditisme urbain, l’opération likofi, les causes et  les conséquences du banditisme urbain  et la seconde va élaborer le plan de communication et une matrice d’évaluation.

                       

PREMIERE  ETAPE :   INTRODUCTION
Depuis la nuit de temps à Kinshasa nous connaissons tous, les phénomènes « kuluna » autrement appelé « banditismes urbains »,  ces derniers sont à la base de la déstabilisation sociale.  Pour ce, nous voulons élaborerez ce plan stratégique sur la lutte contre les banditismes urbains. Communautairement appelé « kuluna »
 A cet effet,  nous visons :
 Pour objectif : la création des emplois, des centres des formations pour ses jeunes kuluna. Sensibilisation sur la lutte contre le kuluna pour  un Congo nouveau sans banditisme urbain.
 Pour mission : est la consolidation de la paix, la réconciliation des jeunes avec eux même, avec la société et avec Dieu.
Pour résultat : que 99%  des jeunes soient capable d’exercer un métier et abandonner l’esprit criminel qui est un obstacle et/ou une menace pour la société kinoise.
Précaution : nous devons renforcer la police (la sécurité) dans tous les quartiers de la ville de Kinshasa, redorer l’image de notre justice, sensibiliser les chefs des prisons de la ville pour la rééducation des jeunes gens qui passent leur vie derrière le barreau, bien payer les travailleurs, les occuper pour  s’assurer qu’il n’y aura pas les rechutés. Nous devons impliquer le gouvernement congolais dans cette affaire.
A cette étape, nous avons les données physique, données démographique, données socio culturel, l’organisation de la situation étudier données de système territorial.
A.   Données physique :
 Ici, nous avons des individus. Les jeunes garçons de 10 ans ou plus  identifié qui pratique le kuluna. Nous estimons que 30% de jeunes garçons de la ville de Kinshasa sont des kulunas.

B. Données démographiques :
Les  jeunes pratiquant le kuluna dans la ville province de Kinshasa sont  au nombre de 100 ou plus. Nous ne serons pas à mesure de  comptabiliser les criminels urbains ou banditismes urbains. En effet, nous avons ciblé 4 communes le plus touchées par ces derniers.
Il s’agit de la commune de Ngaba, Matete, Kimbaseke, Makala. Après une lecture faite des informations sur une chaine TV de la place qui présente les effets bruts autrement dit l’information brute qui touche directement la société (faits sociaux), ce sont les mêmes communes qui reviennent. Ainsi, ces 4 communes ne sont qu’un échantillon.
Communes
Ngaba
Makala
Matete
Kimbaseke
Nombre des jeunes kuluna en %
35%
36%
37%
40%
Année
2012 -2014
2012-2014
2012-2014
2012-2014
Évaluation
Avec les actions menées par le gouvernement congolais : l’opération likofi le taux  des kulunas a rabaissé.
On enregistre moins des kulunas depuis l’opération likofi.
Grace à l’action opté par le gouvernement il n’y a plus de kulunas comme hier.
Après  l’opération likofi, il y a au moins 30% de cas qui continue à tuer puis braquer à mains en armée.
Total générale
25%
27%
26%
30%

Lecture : l’opération likofi qui est un crime dans un état de droit comme la notre a aidé à réduire le taux de criminels dans la ville de Kinshasa. Mais il reste encore à faire pour mettre fin à ce phénomène.
C. Données socio culturel :
Ce sont des données qui portent sur des questions relatives à la vie sociale ou culturelle d’une population. Dans notre pays, précisément à Kinshasa, nous ne vivons pas selon les classes sociales, mais certains parents sont incapables d’assumer leur responsabilité.
Parmi les causes socio culturelles qui incitent les jeunes à révolter c’est plus des sentiments de privation, de discrimination, d’oppression, de marginalisation, etc.
            À Kinshasa plus de 2/4 de la population vivent dans la pauvreté ce qui fait que  la jeunesse se retrouve dans une situation qui la pousse à se droguer, soit dans la délinquance.
D. Organisation de la situation étudiée :
De  ce qui suit par rapport à la situation étudiée, nous allons plaider  au gouvernement  congolais  et organisme international de nous venir en aide pour la création des emplois.
E. Données de système :
Dans  chaque commune, nous aimerions placer des sites  pour créer le lieu d’écoute, d’antipathie avec ses jeunes.  Par jour au moins l’écoute de plus  de  4O jeunes pratiquants le kuluna nous sera bénéfique. Il séide de signaler que les éducateurs social qui seront là doivent s’adhérer au monde de Kuluna, ne pas aller dans le cite en costume ou en tenue de ville.
·         Force : nous avons dans  nos communes, les policiers, les bureaux deux ainsi que le notaire qui à chaque fois qu’on arrête  le criminel, ils les enregistrent et prennent les adresses  pour les identifier.
·         Faiblesse : les policiers se transforment en kuluna et dérange la population au lieu de leur venir en aide. Comme nous l’avons dit si haut que les policiers manquent des matérielles  de sécurité.
·         Opportunité : les policiers ont la facilité d’identifier le kuluna, leurs sites sont reconnu, et  ils ont l’opportunité de les écouter.
·         Menace : les policiers  sont mal payé et ce qui fait que la corruption suffit pour libérer les criminels.

La police, la justice et les institutions touchant aux droits de l’homme (société civile), à la protection de droit de l’enfant et autres.

1. Indicateur :
La population lui-même doit s’impliquer en dénonçant les agents causals de leurs maux ; la police puisqu’elle est là pour assurer la sécurité de la population et les jeunes  garçons de la rue (enfants en rupture familiale) et les jeunes garçons qui vivent en famille mais en situation difficile qui se lance au métier  dit kuluna.
 La population sait identifier ces malfaiteurs ; faiblesse : cette dernière  peut dénoncer ses malfaiteurs, mais leurs familles vont s’en prendre à eux et cela va semer la zizanie et le déséquilibre totale de leur relation. Cependant, elle est impuissante de s’assumer et la police d’une part soutient la population, mais de l’autre part, elle est la meilleure amie de banditisme Urbain.

3     .Opportunité et Menace

La population n’a pas d’outils qui peuvent  la permettre de communiquer avec la police en cas d’attaque la nuit, le numéro de la police qu’on donne ne pas opérationnel et parfois  les policiers ne sont pas disponibles, ils disent très souvent que toute l’équipe n’est pas là donc elle ne peut pas venir en aide les personnes vulnérable, la police ne collabore pas avec la population. Opportunité : la population peut facilement repérer les kulunas.

C .APPERCU SUR LE RESSENSEMENT AU CONGO

Les agents de la police, les parents, les responsables des orphelinats, les écoles, et les églises.
Il y a une loi qui oblige aux parents d’enregistrer leurs enfants juste après la naissance mais pour certains ce n’est pas le cas puis que la loi passe inaperçue. Faiblesse : Les agents eux mêmes ne passent pas de porte à porte pour vérifier si les enfants sont enregistrés et procèdent tous l’acte de naissance. Les leaders d’opinions ne prennent pas la parole ou ne communique pas sur ce qui est important, ce qui peut porter un plus sur le développement culturel. Dans les églises on ne fait qu’en dormir les chrétiens. Nous souhaiterons que la prolifération des églises apporte un plus sur la personne.
Les agents peuvent passer dans les orphelinats demander les registres ou cahiers registres pour prendre la statistique, passer  des maisons en maisons pour recenser et obliger les parents qui n’enregistre pas leurs enfants de payer les amandes. Signalons que dans notre pays, il  n’est pas difficile de faire les recensements, mais les matérielles en manque, certains enquêteurs ou  régisseur lors qu’ils seront épuisés, ils peuvent remplir les fiches eux-mêmes.



 D. SITUATION DE LA COMMUNICATION ET MOBILISATION SOCIALE

Nous avons pour cible, les jeunes garçons dont l’âge varie de  10 à plus au moins 35 ans puis que ce sont eux qui sèment les désordres dans notre pays. Vue les causes et conséquences pré cité, nous trouverons une solution pour cette jeunesse ternie. Nous ciblons de même la police.

 




Canaux de communication
Cible jeunes
Raison
Réseaux sociaux
Types de communication
Heure de diffusion
Radio
Jeunes  garçons (10 à 35 ans) et les autorités compétentes.
Facilité de les atteindre même sans électricité.
Facebook : pour prendre les opinions d’autres jeunes qui sont contre cette pratique.
Nous allons utiliser la communication participative, dans ce type de communication, nous allons  associer les leaders d’opinion, Telque : les  musiciens, les pasteurs, les prêtres.
Avant et après une émission de musique (négocier avec les chroniqueurs et D.J) si possible aussi de balancer le message anti – kuluna.
Télévision
---
L’image accompagne le son. En voyant par exemple la torture des autres, les esprits peuvent s’apaiser.
Twoo : pour la même raison
La communication institutionnelle.
Apres et avant le journal puis avant l’émission zamba- zamba et avant le foot Ball.
Affiche et oralité
---
Par manque de radio et de poste téléviseur, au moins les images qui seront placé dans des places stratégique dans la ville peuvent les aider à changer. A l’oralité cela se passera de bouche à bouche.
Blog
La communication interpersonnelle puisque dans ce type de problème, on  ne peut pas seulement se contenter de la communication de masse car celle-ci échoue.
Pas d’heure fixe car elles resteront dans la rue.
Canaux locaux (radio dans le marché)
---
Radio qui se trouve dans le marché par ce que la plus part de ce criminel, passe leur temps aux environs.
Twitter, watsapp
La communication pour le changement de comportement.
10h00 à  10h30 et de 14h30 à 15h00.



En ceci il sied d’abord de signaler qu’il y a un problème de communication dans notre pays et le manque de la liberté d’expression. Ce qui peut faire appel à d’autres problèmes portant sur la fixation ou l’opérationnalisation des stratégies communicationnelles à mettre en place.
Vison Stratégique :
·         Information ;
·         Sensibilisation ;
·         Plaidoyer auprès du gouvernement congolais ;
·         identification de la population cible qu’il faut redorer l’image ;
·         collaboration entre la justice et les éducateurs sociaux ;
·         indentification des acteurs de la communication ;
·         objectifs de la communication  qui consiste à convaincre et persuader les jeunes gens à la prise de conscience du comportement désiré, et
·         Conscientisation.

Orientation Stratégique
·         on veut atteindre notre objectif qui est : un Congo nouveau sans banditisme urbain, créer des emplois, centres de formation professionnel…
·         Nous envisageons  l’orienter des jeunes gens qui se sont dérouté pour un Congo meilleur,
·         La rééducation des jeunes prisonniers : entré en contact avec les chefs des prisons pour que ces jeunes gens soient au moins former pour qu’à la sortie d’ici, ils ne se laissent plus dans la délinquance.

Nous sommes dans un contexte ou la République Démocratique du Congo connait une crise de la jeunesse. Cette dernière ignore que la RDC  a besoin d’elle et c’est elle qui est la clé du développement durable, d’un Congo nouveau. Mais hélas, elle se lance dans la délinquance faute de l’irresponsabilité des parents ainsi que d’eux mêmes.
·         Réinsérer les jeunes dans la famille, et
·         Réduire le taux de kuluna dans la ville province de Kinshasa 


2. PRINCIPALES ACTIVITES
·          Création des emplois ;
·         Création des centres de formation pour ses jeunes kuluna ;
·         Mené des campagnes des sensibilisations dans des églises, quartiers sur la lutte contre le kuluna ;
Hormis ces activités, nous allons nous associé avec la police nationale congolaise et les institutions qui serons intéressées.
Nous allons recourir  au (à la):
·         Plaidoyer,
·         Lobbing ;
·         Partenariat
·         Principes ou étapes  de la communication pour le changement de comportement, (information, sensibilisation et conscientisation)
·          Communication publique ;
·         Marketing social ;
·         Communication persuasive, participative et interpersonnelle ;
·         Évaluer à chaque étape pour ne pas échouer.
·         Les rencontres hebdomadaires des acteurs de communication vont  permettre à ceux-ci d’échanger leurs expériences, de faire des études de cas, et de rechercher ensemble des solutions pour les cas les plus difficiles. Des rencontres sectorielles mensuelles (responsables de communication, de la formation professionnelle…)  vont permettre de faire le point sur le travail dans chacun de ces domaines ;
·          Auto-évaluation semestrielle par le moyen d’une rencontre de tous les membres  avec un certain nombre de questions posées sur le travail réalisé, une évaluation annuelle  qui sera  réalisée par les professionnels de communication ; et
·         Rencontre semestrielle avec les jeunes, dans les centres de formations, lieu d’emplois et dans leurs familles en organisant les échanges de vœux pour la consolidation de lien, dans le but d’une relation communicationnelle.
5. BUDGET  
1. Campagne de sensibilisation
Moyen Matériel
·         4 projecteurs : 4 x100$=400$
·         Sonorisation : 100$
·         Sucrées 500$
·         7 Banderoles : 7x 10$=70
·         4 Ordinateurs : 4x400$=1600$
·         5 Rames de papiers : 5x5$=25$
·         4 Imprimantes : 4x60$=240$
·         Cartouches : 30$
·         Dépliants : gratuit
Total : 2965$
Moyen  Financier :
·         Frais de transports : 80$
·         Frais de communication : 50$
·         Frais administratif : 300$
Total : 430$
Moyen Humain :
·         Animateur : 150$
·         10 Protocoles : 10x30$= 300$
·         Presse  (écrite et audio-visuelle): 350$
Total : 800$
1.    Création Des Emplois
Moyen Matériel :
·         Bâtiment : 10.000$
·         Équipements : 8.000$
Total : 18.000$
Moyen Financier :
·         Frais de transport : 300$
Total : 300$
Moyen Humain :
·         20 agents : (12 moins)  12x300$=3600$x20=72.000
Total : 72.000$
2.    Création De Centre De Formation :
Moyen Matériel :
·         Bâtiment : 10.000$
·         Meubles : 8.000$
·         Matériel (machines à coudre, atelier maçonnerie, menuiserie, ordinateurs portables…) : 180 .000

Total : 198.000$
Moyen financier :
·         Frais de transport : 300$
Total : 300$
Moyen Humain
·         20 Salariés ,12 mois ,300$= 72.000$
Total : 270.300$

Signalons que les employés, seront les formateurs des jeunes kuluna. Donc les moyen matériel, financier et humain concernent A2 et A3, sauf l’argent des  matérielles que nous retrouvons à l’A3
·         Rechutés ;
·         Refus d’un changement de comportement ;
·         Réduction du budget ;
·         Interdiction de la part du gouvernement ;
·         Concurrence ;
·         Zizanie entre membre ;
·         Solution : bien gérer, solidarité, compétence, estime de soi, bien se position sur le marché.

Nombre
Poste
Prix Unitaire en USD
Total général en USD
3
Activités
A1 : 4.195$,
A2 :76.495$,
A3 :180.000$
260.680$
1
Jeep
9000$
9000$
1
Parcelle
30.000.000$
30.000.000$
Total : 30.269.680$

 

 








8. MATRICE  D’EVALUATION



Objectif
Résultat
Activités
I.O.V en %
Moyen de vérification
Contrainte
Suivie et évaluation
Mise en œuvre du P.C
Réinsérer les jeunes dans la famille,

Unité familiale, soit reconstruction de la famille à l’image de la sainte famille (joseph, Marie et Jésus)
Mené des campagnes des sensibilisations dans des églises, quartiers sur la lutte contre le kuluna ;

75
Élaboration de fiches d’identification de la cible ; toujours tenir compte de l’environnement
Refus de cette réinsertion sociale. Ou résistance.  Le changement de comportement est un processus donc, il faut laisser le temps au temps.
Réunion entre parents, acteurs de la communication et les chefs de quartiers.
Partenaire  qui accepte d’investir.
Réduire le taux de kuluna dans la ville province de Kinshasa 
Plus de peine de sortir la nuit et le 90% de kuluna deviennent  responsable
Création des centres de formation pour ses jeunes kuluna 
80
Le procès verbal des jeunes lors de l’inscription, les fiches d’écoutes et le registre d’appel ;
Refus de l’autorisation de la part du gouvernement congolais : associé les organismes internationaux, soit chercher à le convaincre, en utilisant la communication publique puisque là, nous visons l’intérêt national et cela redorera l’image de la République Démocratique du Congo.
Réunion entre animateur et les jeunes gens, les policiers et la société civile.
Implication du gouvernement congolais dans cette affaire.
Mettre fin à ce phénomène (à long termes)
Les kulunas réinsérés apprennent les métiers aux autres et s’implique dans l’affaire anti-kuluna
Création des emplois ;

99
Fiches de suivies, descende aux sites ; visite dans le centre de formation placé dans le milieu stratégique de la ville.
Rechuté : en cas de rechuté, nous devons renforcer la communication interpersonnelle, augmenter le salaire.
Par des réunions avec le bourgoumestre, la société civile, les policiers, les leaders d’opinions, les églises.
Adhésion des organismes internationaux.
                                                                                                                                                                                          

 



[2] François Benhem, Guide de la publicité et de la communication, éd. Larousse, 2004, p.285.

[3] Marie-Hélène Westphalen, Communicator, 4éme éd., éd. Dunod, Paris, 2004, p.6

[4] GRAWITZ, M. et PINTO, R. Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 1971, p. 290

[5] http://WWW.Approche systémique .com.

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