PROBLÉMATIQUE
Au terme de notre cours de méthode
d’évaluation de stratégie de la communication, il nous est demandé d’élaborer
un plan de communication stratégique sur la lutte
contre le banditisme urbain. Nous savons bel et bien que notre pays est menacé
par le kuluna en cravate et kuluna en culote appelé autrement banditisme urbain. Ce qui veut dire que les kulunas en cravate sont ceux qui détiennent
le pouvoir et les kulunas urbain sont
ceux qui nous massacrent la nuit. Autrement appelé malade psychosociale.
Au
travers le monde on pense de moins en moins à l’élimination physique de cette
catégorie d’homme. Tout homme qui est dans la délinquance est une malade
sociale donc on doit les amener auprès de psychiatre au lieu de le tuer. Le
gouvernement de la République Démocratique du Congo investi l’argent pour
l’élimination des kulunas au lieu de l’investir pour l’éducation, la création
des emplois et autres. On ne peut pas tuer pour résoudre un problème.
E .DURKHEM, stipule que les malades mentales sont les gens qui ne
parviennent à s’intégrer dans la société, ils sont marginalisés et deviennent
de plus en plus malade.
L'insécurité, tout comme la délinquance et la
criminalité, est une réalité complexe. La recherche des causes et l'étude des
conséquences d'un tel phénomène sont donc forcément des entreprises délicates,
nécessitant des approches larges et diverses.
De ce fait, nous avons tous connu
l’opération dite « likofi » qui sans pitié a tué même les
innocents. Nous appelons kuluna les
malades mentales qui occupent la position
de vie « Je négatif- tu négatif », pour eux rien est important ;
ils vivent sous le principe advient que pourra. Ceci s’explique de problème
qu’ils ont connu dés la naissance : les stresses, le divorce des parents,
le traumatisme, la maltraitance et autres.
Le gouvernement congolais au lieu de tuer ces
jeunes gens comme les brebis à la boucherie, il devra d’abord analyser le
pourquoi de ce banditisme urbain en amont et en quoi ils se donnent à ses opérations
et quelles solutions prendre en aval, toute fois, lutter contre un crime en
a commettant une autre ne renforce pas
l’Etat de droit.
Cependant, qu’ il nous soit permis de
citer les causes et conséquences qui influencent les jeunes à se transformer en
kuluna soit banditisme urbain. Parmi les quelles nous
soulevons :
Les
causes sociales : ll y a l’absence
de perspectives professionnelles, manque de repères, concurrence, pauvreté,
chômage, etc. , Plus largement, il faut encore ajouter à ces causes sociales, le
contexte d'une culture de la violence et de l'argent facile. Il existe
notamment un lien causal entre la
violence domestique et la violence de la rue (ce n'est pas l'enfant
délinquant que l'on bat, mais l'enfant battu qui devient délinquant !).
Enfin, la modification des contrôles
sociaux, en particulier le divorce des parents, la rupture du lien social au
niveau des quartiers, semble être aussi une cause que l'on retrouve dans
beaucoup de situations.
Les causes institutionnelles : il
faut mentionner l'inadaptation du système de justice criminelle (police,
justice et prisons) face à la montée de la délinquance. Et nous dirons aussi que dans notre pays les policiers qui doivent
être au service de la population, sont les premiers à nuire la dite population et à tuer sans avoir peur du
Dieu créateur. Quant à la justice, elle ignore les droits de l’homme, elle juge
injustement en acceptant de mettre fin à la vie d’un être humain anormal, elle
est corrompue, la procédure d'admission à l'assistance judiciaire est complexe,
longue et coûteuse. La population n’est pas en mesure de le payé.
Et
en ce qui concerne les prisons,
elles sont vétustes, inadaptées et
surpeuplées. Le personnel est souvent mal formé et ne peut remplir qu'un rôle
de gardiennage, abandonnant toute tentative de rééducation sociale des détenus.
Du coup, la prison devient plutôt une « école du banditisme » pour
les jeunes qui y entrent en contact avec des criminels plus expérimentés.
Les causes concernent l'environnement :
physique, souvent urbain, de ces phénomènes : , il faut signaler l'urbanisation mal maîtrisée, le manque
de services urbains, l'absence de conception de la sécurité dans les politiques
urbaines, l'apparition d'espaces semi-publics mal protégés, la promiscuité et
l'illégalité de certains quartiers qui génèrent des zones de non-droit et
finalement la liberté du port d'armes ou le trafic illégal des armes légères
qui constitue la conséquence de guerres civiles ou de conflits dans les pays
limitrophes.
Et les
conséquences nous énumérons ce
qui suit:
Les conséquences psychologiques: impression d'abandon,
d'impuissance et d'incompréhension pouvant mettre en péril la paix sociale,
voire même les fondements démocratiques d'un pays. On constate ainsi souvent
des réflexes de repli sur soi et de xénophobie ;
Conséquences architecturales,
La peur du grand banditisme a fait naître un besoin de protection qui passe
souvent par l'aménagement de systèmes de sécurité intérieurs : des barres de
fer en travers des portes, des verrous intérieurs, des chaînes ou des crochets
internes que l'on puisse cadenasser, des alarmes pour ceux qui en ont les
moyens, etc. Mais ce qui frappe surtout l'observation oculaire est la
prolifération des murs d'enceintes avec toutes les implications que cela peut
avoir sur la cohabitation entre voisins ;
Les conséquences institutionnelles,
sont marquées par le développement massif des entreprises de sécurité privée.
Les comités d'autodéfense deviennent également de plus en plus nombreux,
principalement dans les quartiers résidentiels des grandes villes. Alors
qu'elles constituent une réaction somme toute compréhensible face aux atteintes
aux biens et aux personnes, leur efficacité reste plutôt relative. Surtout, ils
posent en vérité un certain nombre de problèmes d'ordre principalement
politique et juridique. D'abord, le développement de ce qui ressemble bel et
bien à des milices privées, consacre de fait l'abandon de certaines
prérogatives de l'Etat et des collectivités publiques et la démission de
l'autorité devant ses fonctions sécuritaires. Une telle situation est inquiétante
au vu des développements politiques qu'ont pu connaître récemment des pays
proches tels que le Congo Brazzaville, où les milices privées sont devenus les
acteurs d'une guerre civile extrêmement sanglante. D'autre part, ce phénomène
de privatisation de la sécurité pose la question de la valeur juridique de ses
décisions. Ainsi faut-il s'interroger sur la validité des interdictions d'accès
à certains quartiers de la ville à certaines heures que de tels comités
décrètent ;
Les conséquences économiques,
peuvent être directes (frais occasionnés par les casses) ou indirectes (absence
d'investissements, départs d'entreprises étrangères, etc.). Or s'il est vrai
que toutes les classes sociales sont touchées par l'insécurité, les recherches
ont montré qu'elle affecte davantage les secteurs pauvres parce qu'ils n'ont
pas les moyens de se défendre, et parce qu'étant plus vulnérables, la violence
urbaine érode leur capital social, brise leurs organisations et empêche leur
mobilité sociale et en particulier celle des jeunes ;
Les conséquences politiques,
de la privatisation de la sécurité et la perte des prérogatives étatiques. Une
autre conséquence politique est de type inverse : ce sont les tentatives
des gouvernements centraux pour renforcer la sécurité à travers la répression,
c'est-à-dire le renforcement des effectifs de police, l'augmentation de leur
liberté d'action (p. ex l’opération likofi connu chez nous, qui hier avec le
président Mobutu fut l’opération lititi et au Congo Brazza l’opération Mbata) l'allongement
des peines de prison et l'application de théories répressives difficiles à
gérer et discutables comme celles du « zéro degré de tolérance » ou du
couvre-feu pour les mineurs ou encore de l'abaissement de l'âge de la
responsabilité judiciaire. [1]
Mais, le gouvernement congolais qui est
un club des intellects ont agit de la même façon que les malades mentales en
tuant et cette punition qui a impliqué les innocents. Où est passé les droits
de l’homme dans notre pays? Pourquoi le gouvernement n’a pas pu trouver d’autres solutions autres qu’éliminer
une personne et ceci fait preuve de l’irresponsabilité de la part des autorités
compétent.
En effet, dans notre travail, nous
tenons à élaborer un plant de communication stratégique sur la lutte contre les banditismes urbain et
à chuter en l’évaluant dans une matrice d’évaluation.
Le plan de communication est un document
qui, sur une marque, un produit, un service, va courir :la base marketing
sur laquelle la stratégie de communication
s’est appuyée, un état des lieux relatant les principaux résultats du
produit en distribution et en communication (s’il ne s’agit pas du lancement
),l’environnement concurrentiel, le raisonnement stratégique, sa traduction
créative, le plan d’opérations et des moyens qui peut, au-delà de l’exercice en cours, fixer des objectifs
et des moyens sur plusieurs années.[2]
Le plan stratégique de communication est
d’abord un plan de communication qui devient stratégique par ce qu’il a un
objectif à atteindre sur un problème social. Comme le savons-nous qu’il n’a pas une communication pour
elle-même, moins encore, une société sans communication.
Cependant, pour appliquer une bonne
communication, il faut avoir des stratégies afin de résoudre le problème. Pas
de société sans conflit.
D'après Marie-Hélène WESTPHALEN[3] la stratégie de comment bâtir un plan
de communication doit répondre aux questions suivantes : Que dire ? A
qui ? Dans quel objectif ? Avec quelle technique ? L’auteur
ajoute : l’entreprise ne peut pas
communiquer à tous vents ; l’orientation générale, la dotation en moyens,
leur question demandent la rigueur, faute de quoi les investissements risquent
d’être inopérants.
Tout travail scientifique doit être
soutenu au moins par une méthode et une technique afin de rendre incontestable
le travail effectué.
Madeleine GRAWITZ et R. PINTO
définissent la méthode comme étant l'ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline
cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontrent, les vérifient[4]
Nous avons utilisé la méthode d’analyse de contenu du problème relevé et
de la planification de notre campagne. Cette méthode qui est défini par Marc
Alain Descamp comme une technique de traitement de données préexistantes
par recensement, classification et quantification des traits d’un corpus.
par recensement, classification et quantification des traits d’un corpus.
Parmi
les diverses techniques qu’utilise les sciences sociales, nous avons utilisé :
La technique documentaire qui va nous aider à lire les ouvrages et les
documents liés au travail à faire.
Nous nous sommes inspiré à l’approche
systémique, par ce qu’elle est utilisée par les entreprises pour trouver des
solutions répondant à la complexité et pour accompagner les perpétuels
changements que surviennent dans son environnement. Elle permet à l’entreprise
d’intégrer les éléments de la planification stratégique et d’autres critères
organisationnels dans le but de créer un changement au sein de l’organisation.
Cette approche va permettre à la ville province de Kinshasa à mieux se
réorganiser et reporter sa plus belle robe pour sauver son image.[5]
Notre travail à deux parties hormis
l’introduction et la conclusion. La première
va résumer les causes et
conséquences du banditisme urbain, l’opération likofi, les causes et les conséquences du banditisme urbain et la seconde va élaborer le plan de
communication et une matrice d’évaluation.
PREMIERE ETAPE : INTRODUCTION
Depuis
la nuit de temps à Kinshasa nous
connaissons tous, les phénomènes « kuluna » autrement
appelé « banditismes urbains », ces derniers sont à la base
de la déstabilisation sociale. Pour ce,
nous voulons élaborerez ce plan stratégique sur la lutte contre les banditismes
urbains. Communautairement appelé « kuluna »
A cet effet,
nous visons :
Pour
objectif : la création des emplois, des centres des formations pour
ses jeunes kuluna. Sensibilisation sur la lutte contre le kuluna pour un Congo nouveau sans banditisme urbain.
Pour
mission : est la consolidation de la paix, la réconciliation des
jeunes avec eux même, avec la société et avec Dieu.
Pour
résultat : que 99%
des jeunes soient capable d’exercer un métier et abandonner l’esprit
criminel qui est un obstacle et/ou une menace pour la société kinoise.
Précaution :
nous devons renforcer la police (la sécurité) dans tous les quartiers de la
ville de Kinshasa, redorer l’image de notre justice, sensibiliser les chefs des
prisons de la ville pour la rééducation des jeunes gens qui passent leur vie derrière
le barreau, bien payer les travailleurs, les occuper pour s’assurer qu’il n’y aura pas les rechutés.
Nous devons impliquer le gouvernement congolais dans cette affaire.
A
cette étape, nous avons les données physique, données démographique, données
socio culturel, l’organisation de la situation étudier données de système
territorial.
A. Données physique :
Ici, nous avons des individus. Les jeunes
garçons de 10 ans ou plus identifié qui
pratique le kuluna. Nous estimons que 30% de jeunes garçons de la ville de
Kinshasa sont des kulunas.
B. Données démographiques :
Les jeunes pratiquant le kuluna dans la ville
province de Kinshasa sont au nombre de
100 ou plus. Nous ne serons pas à mesure de
comptabiliser les criminels urbains ou banditismes urbains. En effet,
nous avons ciblé 4 communes le plus touchées par ces derniers.
Il
s’agit de la commune de Ngaba, Matete, Kimbaseke, Makala. Après une lecture
faite des informations sur une chaine TV de la place qui présente les effets
bruts autrement dit l’information brute qui touche directement la société
(faits sociaux), ce sont les mêmes communes qui reviennent. Ainsi, ces 4
communes ne sont qu’un échantillon.
Communes
|
Ngaba
|
Makala
|
Matete
|
Kimbaseke
|
Nombre des jeunes kuluna en %
|
35%
|
36%
|
37%
|
40%
|
Année
|
2012 -2014
|
2012-2014
|
2012-2014
|
2012-2014
|
Évaluation
|
Avec les actions menées par le gouvernement
congolais : l’opération likofi le taux
des kulunas a rabaissé.
|
On enregistre moins des kulunas depuis
l’opération likofi.
|
Grace à l’action opté par le gouvernement
il n’y a plus de kulunas comme hier.
|
Après
l’opération likofi, il y a au moins 30% de cas qui continue à tuer
puis braquer à mains en armée.
|
Total générale
|
25%
|
27%
|
26%
|
30%
|
Lecture :
l’opération likofi qui est un crime dans un état de droit comme la notre a aidé
à réduire le taux de criminels dans la ville de Kinshasa. Mais il reste encore
à faire pour mettre fin à ce phénomène.
C.
Données socio culturel :
Ce
sont des données qui portent sur des questions relatives à la vie sociale ou
culturelle d’une population. Dans notre pays, précisément à Kinshasa, nous ne
vivons pas selon les classes sociales, mais certains parents sont incapables
d’assumer leur responsabilité.
Parmi
les causes socio culturelles qui incitent les jeunes à révolter c’est plus des
sentiments de privation, de discrimination, d’oppression, de marginalisation,
etc.
À
Kinshasa plus de 2/4 de la population vivent dans la pauvreté ce qui fait
que la jeunesse se retrouve dans une
situation qui la pousse à se droguer, soit dans la délinquance.
D.
Organisation de la situation étudiée :
De ce qui suit par rapport à la situation
étudiée, nous allons plaider au gouvernement congolais
et organisme international de nous venir en aide pour la création des
emplois.
E.
Données de système :
Dans chaque commune, nous aimerions placer des
sites pour créer le lieu d’écoute,
d’antipathie avec ses jeunes. Par jour
au moins l’écoute de plus de 4O jeunes pratiquants le kuluna nous sera
bénéfique. Il séide de signaler que les éducateurs social qui seront là doivent
s’adhérer au monde de Kuluna, ne pas aller dans le cite en costume ou en tenue
de ville.
·
Force :
nous
avons dans nos communes, les policiers, les bureaux deux
ainsi que le notaire qui à chaque fois qu’on arrête le criminel, ils les enregistrent et prennent
les adresses pour les identifier.
·
Faiblesse :
les
policiers se transforment en kuluna et dérange la population au lieu de leur
venir en aide. Comme nous l’avons dit si haut que les policiers manquent des
matérielles de sécurité.
·
Opportunité :
les
policiers ont la facilité d’identifier le kuluna, leurs sites sont reconnu, et ils ont l’opportunité de les écouter.
·
Menace :
les
policiers sont mal payé et ce qui fait
que la corruption suffit pour libérer les criminels.
La
police, la justice et les institutions touchant aux droits de l’homme (société
civile), à la protection de droit de l’enfant et autres.
1. Indicateur :
La
population lui-même doit s’impliquer en dénonçant les agents causals de leurs
maux ; la police puisqu’elle est là pour assurer la sécurité de la
population et les jeunes garçons de la
rue (enfants en rupture familiale) et les jeunes garçons qui vivent en famille
mais en situation difficile qui se lance au métier dit kuluna.
La population sait identifier ces
malfaiteurs ; faiblesse : cette dernière peut dénoncer ses malfaiteurs, mais leurs
familles vont s’en prendre à eux et cela va semer la zizanie et le déséquilibre
totale de leur relation. Cependant, elle est impuissante de s’assumer et la
police d’une part soutient la population, mais de l’autre part, elle est la
meilleure amie de banditisme Urbain.
3 .Opportunité et Menace
La
population n’a pas d’outils qui peuvent
la permettre de communiquer avec la police en cas d’attaque la nuit, le
numéro de la police qu’on donne ne pas opérationnel et parfois les policiers ne sont pas disponibles, ils
disent très souvent que toute l’équipe n’est pas là donc elle ne peut pas venir
en aide les personnes vulnérable, la police ne collabore pas avec la population.
Opportunité : la population peut facilement repérer les kulunas.
C .APPERCU SUR LE RESSENSEMENT AU CONGO
Les
agents de la police, les parents, les responsables des orphelinats, les écoles,
et les églises.
Il y
a une loi qui oblige aux parents d’enregistrer leurs enfants juste après la
naissance mais pour certains ce n’est pas le cas puis que la loi passe
inaperçue. Faiblesse : Les agents eux mêmes ne passent pas de porte à
porte pour vérifier si les enfants sont enregistrés et procèdent tous l’acte de
naissance. Les leaders d’opinions ne prennent pas la parole ou ne communique
pas sur ce qui est important, ce qui peut porter un plus sur le développement
culturel. Dans les églises on ne fait qu’en dormir les chrétiens. Nous
souhaiterons que la prolifération des églises apporte un plus sur la personne.
Les
agents peuvent passer dans les orphelinats demander les registres ou cahiers
registres pour prendre la statistique, passer
des maisons en maisons pour recenser et obliger les parents qui
n’enregistre pas leurs enfants de payer les amandes. Signalons que dans notre
pays, il n’est pas difficile de faire
les recensements, mais les matérielles en manque, certains enquêteurs ou régisseur lors qu’ils seront épuisés, ils
peuvent remplir les fiches eux-mêmes.
D. SITUATION DE LA COMMUNICATION
ET MOBILISATION SOCIALE
Nous avons pour cible, les jeunes garçons dont l’âge varie de 10 à plus au moins 35 ans puis que ce
sont eux qui sèment les désordres dans notre pays. Vue les causes et
conséquences pré cité, nous trouverons une solution pour cette jeunesse ternie.
Nous ciblons de même la police.
Canaux de communication
|
Cible jeunes
|
Raison
|
Réseaux sociaux
|
Types de communication
|
Heure de diffusion
|
Radio
|
Jeunes
garçons (10 à 35 ans) et les autorités compétentes.
|
Facilité de les atteindre même sans électricité.
|
Facebook : pour prendre les opinions d’autres
jeunes qui sont contre cette pratique.
|
Nous allons utiliser la communication
participative, dans ce type de communication, nous allons associer les leaders d’opinion,
Telque : les musiciens, les pasteurs,
les prêtres.
|
Avant et après une émission de musique
(négocier avec les chroniqueurs et D.J) si possible aussi de balancer le
message anti – kuluna.
|
Télévision
|
---
|
L’image accompagne le son. En voyant par
exemple la torture des autres, les esprits peuvent s’apaiser.
|
Twoo : pour la même raison
|
La communication institutionnelle.
|
Apres et avant le journal puis avant
l’émission zamba- zamba et avant le foot Ball.
|
Affiche et oralité
|
---
|
Par manque de radio et de poste téléviseur,
au moins les images qui seront placé dans des places stratégique dans la
ville peuvent les aider à changer. A l’oralité cela se passera de bouche à
bouche.
|
Blog
|
La communication interpersonnelle puisque
dans ce type de problème, on ne peut
pas seulement se contenter de la communication de masse car celle-ci échoue.
|
Pas d’heure fixe car elles resteront dans
la rue.
|
Canaux locaux (radio dans le marché)
|
---
|
Radio qui se trouve dans le marché par ce
que la plus part de ce criminel, passe leur temps aux environs.
|
Twitter, watsapp
|
La communication pour le changement de
comportement.
|
10h00 à
10h30 et de 14h30 à 15h00.
|
En ceci il sied d’abord de
signaler qu’il y a un problème de communication dans notre pays et le manque de
la liberté d’expression. Ce qui peut faire appel à d’autres problèmes portant
sur la fixation ou l’opérationnalisation des stratégies communicationnelles à
mettre en place.
Vison
Stratégique :
·
Information ;
·
Sensibilisation ;
·
Plaidoyer auprès du gouvernement
congolais ;
·
identification de la population cible qu’il
faut redorer l’image ;
·
collaboration entre la justice et les
éducateurs sociaux ;
·
indentification des acteurs de la
communication ;
·
objectifs de la communication qui
consiste à convaincre et persuader les jeunes gens à la prise de conscience du
comportement désiré, et
·
Conscientisation.
Orientation Stratégique
·
on veut atteindre notre objectif qui
est : un Congo nouveau sans banditisme urbain, créer des emplois, centres
de formation professionnel…
·
Nous envisageons l’orienter des jeunes gens qui se sont dérouté
pour un Congo meilleur,
·
La rééducation des jeunes prisonniers :
entré en contact avec les chefs des prisons pour que ces jeunes gens soient au
moins former pour qu’à la sortie d’ici, ils ne se laissent plus dans la
délinquance.
Nous sommes dans un contexte
ou la République Démocratique du Congo connait une crise de la jeunesse. Cette dernière
ignore que la RDC a besoin d’elle et
c’est elle qui est la clé du développement durable, d’un Congo nouveau. Mais
hélas, elle se lance dans la délinquance faute de l’irresponsabilité des
parents ainsi que d’eux mêmes.
·
Réinsérer les jeunes dans la famille, et
·
Réduire le taux de kuluna dans la ville
province de Kinshasa
2. PRINCIPALES ACTIVITES
·
Création
des emplois ;
·
Création des centres de formation pour ses
jeunes kuluna ;
·
Mené des campagnes des sensibilisations dans des
églises, quartiers sur la lutte contre le kuluna ;
Hormis ces activités, nous allons nous associé avec la
police nationale congolaise et les institutions qui serons intéressées.
Nous allons recourir au (à la):
·
Plaidoyer,
·
Lobbing ;
·
Partenariat
·
Principes ou étapes de la communication pour le changement de
comportement, (information, sensibilisation et conscientisation)
·
Communication
publique ;
·
Marketing social ;
·
Communication persuasive, participative et
interpersonnelle ;
·
Évaluer à chaque étape pour ne pas échouer.
·
Les rencontres hebdomadaires des acteurs de
communication vont permettre à ceux-ci
d’échanger leurs expériences, de faire des études de cas, et de rechercher
ensemble des solutions pour les cas les plus difficiles. Des rencontres
sectorielles mensuelles (responsables de communication, de la formation
professionnelle…) vont permettre de
faire le point sur le travail dans chacun de ces domaines ;
·
Auto-évaluation semestrielle par le moyen
d’une rencontre de tous les membres avec
un certain nombre de questions posées sur le travail réalisé, une évaluation
annuelle qui sera réalisée par les professionnels de
communication ; et
·
Rencontre semestrielle avec les jeunes, dans
les centres de formations, lieu d’emplois et dans leurs familles en organisant
les échanges de vœux pour la consolidation de lien, dans le but d’une relation
communicationnelle.
5. BUDGET
1.
Campagne de sensibilisation
Moyen
Matériel
·
4 projecteurs : 4 x100$=400$
·
Sonorisation : 100$
·
Sucrées 500$
·
7 Banderoles : 7x 10$=70
·
4 Ordinateurs : 4x400$=1600$
·
5 Rames de papiers : 5x5$=25$
·
4 Imprimantes : 4x60$=240$
·
Cartouches : 30$
·
Dépliants : gratuit
Total :
2965$
Moyen Financier :
·
Frais de transports : 80$
·
Frais de communication : 50$
·
Frais administratif : 300$
Total :
430$
Moyen
Humain :
·
Animateur : 150$
·
10 Protocoles : 10x30$= 300$
·
Presse (écrite et audio-visuelle): 350$
Total :
800$
1.
Création
Des Emplois
Moyen
Matériel :
·
Bâtiment : 10.000$
·
Équipements : 8.000$
Total :
18.000$
Moyen
Financier :
·
Frais
de transport : 300$
Total :
300$
Moyen
Humain :
·
20 agents : (12 moins)
12x300$=3600$x20=72.000
Total :
72.000$
2.
Création
De Centre De Formation :
Moyen
Matériel :
·
Bâtiment : 10.000$
·
Meubles : 8.000$
·
Matériel (machines à coudre, atelier
maçonnerie, menuiserie, ordinateurs portables…) : 180 .000
Total :
198.000$
Moyen
financier :
·
Frais de transport : 300$
Total :
300$
Moyen
Humain
·
20
Salariés ,12 mois ,300$= 72.000$
Total :
270.300$
Signalons que les employés,
seront les formateurs des jeunes kuluna. Donc les moyen matériel, financier et
humain concernent A2 et A3, sauf l’argent des
matérielles que nous retrouvons à l’A3
·
Rechutés ;
·
Refus d’un changement de comportement ;
·
Réduction du budget ;
·
Interdiction de la part du
gouvernement ;
·
Concurrence ;
·
Zizanie entre membre ;
·
Solution : bien gérer, solidarité,
compétence, estime de soi, bien se position sur le marché.
Nombre
|
Poste
|
Prix Unitaire en USD
|
Total général en USD
|
3
|
Activités
|
A1 : 4.195$,
A2 :76.495$,
A3 :180.000$
|
260.680$
|
1
|
Jeep
|
9000$
|
9000$
|
1
|
Parcelle
|
30.000.000$
|
30.000.000$
|
Total :
30.269.680$
8. MATRICE D’EVALUATION
Objectif
|
Résultat
|
Activités
|
I.O.V
en %
|
Moyen
de vérification
|
Contrainte
|
Suivie
et évaluation
|
Mise
en œuvre du P.C
|
Réinsérer
les jeunes dans la famille,
|
Unité
familiale, soit reconstruction de la famille à l’image de la sainte famille
(joseph, Marie et Jésus)
|
Mené
des campagnes des sensibilisations dans des églises, quartiers sur la lutte
contre le kuluna ;
|
75
|
Élaboration
de fiches d’identification de la cible ; toujours tenir compte de
l’environnement
|
Refus
de cette réinsertion sociale. Ou résistance. Le changement de comportement est un
processus donc, il faut laisser le temps au temps.
|
Réunion
entre parents, acteurs de la communication et les chefs de quartiers.
|
Partenaire qui accepte d’investir.
|
Réduire
le taux de kuluna dans la ville province de Kinshasa
|
Plus
de peine de sortir la nuit et le 90% de kuluna deviennent responsable
|
Création
des centres de formation pour ses jeunes kuluna
|
80
|
Le
procès verbal des jeunes lors de l’inscription, les fiches d’écoutes et le
registre d’appel ;
|
Refus
de l’autorisation de la part du gouvernement congolais : associé les
organismes internationaux, soit chercher à le convaincre, en utilisant la
communication publique puisque là, nous visons l’intérêt national et cela
redorera l’image de la République Démocratique du Congo.
|
Réunion
entre animateur et les jeunes gens, les policiers et la société civile.
|
Implication
du gouvernement congolais dans cette affaire.
|
Mettre
fin à ce phénomène (à long termes)
|
Les
kulunas réinsérés apprennent les métiers aux autres et s’implique dans l’affaire
anti-kuluna
|
Création
des emplois ;
|
99
|
Fiches
de suivies, descende aux sites ; visite dans le centre de formation
placé dans le milieu stratégique de la ville.
|
Rechuté :
en cas de rechuté, nous devons renforcer la communication interpersonnelle, augmenter
le salaire.
|
Par
des réunions avec le bourgoumestre, la société civile, les policiers, les
leaders d’opinions, les églises.
|
Adhésion
des organismes internationaux.
|
[2]
François Benhem, Guide de la publicité
et de la communication, éd. Larousse,
2004, p.285.
[3]
Marie-Hélène Westphalen, Communicator, 4éme éd., éd. Dunod, Paris,
2004, p.6
[4] GRAWITZ,
M. et PINTO, R. Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 1971, p. 290
[5] http://WWW.Approche systémique .com.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire